- ENTREE de SECOURS -



samedi 5 septembre 2015

Réchauffement climatique, épisode 6. Fraude scientifique par omission : l’effet du Soleil

Zharkova_small
J’ai préféré attendre la « Rentrée » pour mettre en ligne ce billet pourtant prêt depuis deux mois, juste après la sortie de l’information émanant du Congrès National d’Astronomie anglais qui s’est tenu à Llandudno au Pays-de-Galles en juillet 2015 et organisé par la Royal Astronomical Society.
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Dans la série perturbation climatique globale d’origine humaine (selon les termes de Barak Obama) on oublie systématiquement et délibérément de prendre en considération l’influence du Soleil sur le climat comme avait osé le faire Claude Allègre en son temps et il avait parfaitement raison : des travaux scientifiques récents sont là pour le confirmer définitivement. Cela fera bientôt 19 ans qu’on attend ce réchauffement tant annoncé à grands renforts de conférences, meetings internationaux coûteux, courbes en crosse de hockey, rapports « scientifiques » des climatologues auto-proclamés de l’IPCC et d’autres organismes financés par les impôts des contribuables du monde entier … et pour une seule, incontournable, considérable et immense raison, ce réchauffement ne viendra pas, certainement pas de mon vivant ni de celui de mes petits-enfants et peut-être même pas du vivant de mes arrières-petits-enfants ! On s’achemine vers un refroidissement global et brutal de la planète et même en brûlant toutes les réserves disponibles en hydrocarbures liquides et gazeux, charbon, bois et autre suif animal, c’est-à-dire en dégageant des quantités colossales de gazcarbonique dans l’atmosphère rien n’y fera (d’ailleurs ça n’aurait strictement rien changé au climat) la Terre va se refroidir parce que le Soleil en a décidé ainsi et cette fois-ci c’est certain, absolument certain.
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Je suspecte que quelques-uns de mes lecteurs pensent que j’ai perdu la raison en écrivant de telles affirmations hautement hérétiques à moins de 100 jours de l’ouverture de la grande mascarade que sera la COP21 ou alors que je m’enfonce dans ma propre paranoïa anti-réchauffement et pourtant il faut se rendre à l’évidence : on va tous souffrir du froid et dans pas très longtemps, dans moins de dix ans, ça a même commencé cette année dans l’hémisphère sud, il fait un froid à ne pas sortir dehors à Adélaïde en Australie et il a neigé en plein mois de juillet dans les Montagnes Rocheuses, du jamais vu de mémoire d’habitants de Jackson Hole !
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Je fais partie de cette communauté restreinte de blogueurs hétérodoxes qui désapprouve la doxa réchauffiste et qui ait avancé inlassablement l’argument solaire dans les variations climatiques terrestres en dénonçant également à longueur de billets l’absurdité scientifique de la théorie de l’effet de serre et pour bien saisir la teneur de ce nouveau billet il faut comprendre ce qui est en train de se passer dans les profondeurs du Soleil. Cet astre n’est pas une machine thermonucléaire très simple à décrire et on dispose d’un certain nombre de moyens d’investigation comme l’observation visuelle directe pour dénombrer les taches solaires et depuis quelques années (1975, voir l’illustration ci-dessus, Wilcox Observatory Stanford University) on peut directement mesurer les variations du champ magnétique de notre étoile qui nous protège des rayonnements cosmiques à l’aide d’instrumentations magnétométriques ultra-sensibles.
Capture d’écran 2015-07-29 à 15.55.00
Pour ce qui est du passé, quand par exemple le champ magnétique solaire dont dépend directement l’activité du Soleil diminuait, l’abondance en isotope 10 du béryllium dans les concrétions calcaires et les carottes glaciaires augmentait car les rayons cosmiques sont moins bien déviés par le champ magnétique solaire et atteignent plus facilement les hautes couches de l’atmosphère terrestre. Le béryllium-10 est en effet produit par ce qu’on appelle la spallation cosmique, la capture d’un proton cosmique de haute énergie par un noyau d’azote conduisant à cet isotope radioactif du béryllium. Il s’agit d’un « proxy » très utile pour reconstruire l’évolution passée du champ magnétique solaire. Comme le champ magnétique terrestre est également sous l’influence de celui du Soleil des magnétomètres peuvent aussi très indirectement conduire à une évaluation globale de ce dernier.
Il y a donc depuis une quarantaine d’années des observatoires dédiés au suivi direct du champ magnétique solaire et les variations de ce champ magnétique paraissent pour le moins erratiques et inexplicables. Bref, apparemment rien à en tirer à première vue. Comme le dénombrement des taches solaires est supposé être un bon reflet de l’activité solaire, donc de la vigueur du champ magnétique du Soleil puisque les taches solaires sont la manifestation directe de ce champ sous-jacent induit par des flux de matière à l’intérieur de l’étoile, il s’est trouvé qu’après les cycles solaires 21 et 22 au cours de l’optimum solaire moderne qui débuta au début du XXe siècle, brutalement, d’un seul coup, sans qu’aucun géophysicien ne s’y soit attendu, le cycle solaire 23 est devenu tout d’un coup plus faible et présentait un maximum dédoublé après une latence anormalement longue à la fin du cycle 22. Le cycle 24 qui est en passe de se terminer s’est trouvé être lui aussi très affaibli par rapport au précédent déjà lui-même plus faible que le cycle 22 avec ce maximum bifide anormal :
Capture d’écran 2015-07-28 à 11.08.07
(dernier relevé de taches solaires, cycles 23 et 24, source NOAA et pour la nomenclature des cycles solaires voir note en fin de billet)
On a eu beau se creuser les méninges, je parle des astrophysiciens professionnels, aucune explication rationnelle n’a pu être apportée. Il faut noter au passage que depuis le début du cycle solaire 23 qui s’est terminé vers 2007, il avait débuté en 1996, l’activité solaire ne cesse de diminuer. Les astrophysiciens considèrent que c’en est fini de l’optimum moderne qui a débuté aux alentours de 1920 et qu’on s’achemine vers un épisode de froidure pour ne pas dire un âge glaciaire. La faiblesse de l’activité solaire strictement relatée par le nombre de taches solaires explique à elle seule que le climat ne se réchauffe plus depuis 19 ans, mais nous y reviendrons ci-après.
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Cet optimum solaire moderne qui aura duré un petit siècle et qui a provoqué par exemple la fonte des glaciers alpins pour ne citer que cette observation s’est brutalement terminé il y a donc près de 20 ans. La mécanique solaire a commencé à se dérégler subitement après le cycle 22 et pour bien comprendre ce qui se passe dans le Soleil dont le comportement semble pour le moins capricieux il faut préciser, après cette longue introduction, comment ça fonctionne à l’intérieur de cette étoile. Il existe un flux de matière depuis les pôles vers l’équateur qu’on peut représenter sous forme d’un tore. Pas difficile de se représenter un tore, une chambre à air de pneu d’automobile est un tore et si on l’aplatit pour la faire tenir dans une demi-sphère, on a une image de la double courroie de transmission de matière (conveyor belt) existant dans les hémisphères nord et sud du Soleil. De la matière interne migre depuis les pôles vers l’équateur puis s’enfonce dans les profondeurs de l’astre et ceci symétriquement au nord et au sud par rapport au plan équatorial. La chute d’activité solaire au cours de la fin du cycle 23 couvrant la période 1997-2008 a été suivie d’une sorte d’hésitation qui a anormalement duré plus de trois années, de fin 2007 à début 2010, et une répartition en deux phases des taches solaires durant ce cycle (le cycle 24 qui se termine) a intrigué plus d’un astrophysicien. Il y avait comme un genre de répétition de ce qui venait de se passer pour le cycle 23 qui « mit du temps » à monter en puissance, entre 1995 et 1998 et dont le maximum fut aussi en « dos de chameau ».
Ce genre de comportement ne pouvait s’expliquer que s’il y avait une interférence sous-jacente, à l’intérieur du Soleil, avec cette principale courroie de transmission en forme de tore appelée toroïde.
Pour identifier l’élément perturbateur, il a fallu faire une analyse mathématique en profondeur (sans jeu de mots) des données recueillies sur ce qu’on appelle communément la « dynamo solaire » par l’observatoire solaire Wilcox de l’Université de Stanford.
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C’est ce qu’a réalisé une mathématicienne de l’Université de Northumbria à Newcastle-upon-Tyne. En effectuant donc une analyse mathématique détaillée des fluctuations des ondes du champ magnétique solaire aboutissant à une distinction entre amplitude et fréquence des ondes de ce champ, ne me demandez pas comment elle a fait, je n’ai jamais été un bon mathématicien, le Docteur Valentina Zharkova a pu mettre en évidence les caractéristiques du deuxième flux de matière existant en profondeur dans le Soleil qui va d’un pôle vers l’autre et est appelé pour cette raison poloïdal ou poloïde, comme vous voudrez, et ces deux flux de matière peuvent être décrits par des équations mathématiques appropriées. Ces deux mouvements de matière interagissent entre eux et ces flux furent encore synchrones lors des cycles 21 et 22 et d’un seul coup, pour une raison qui reste encore indéterminée à ce jour, il se sont trouvés désynchronisés et oeuvrent maintenant, si on peut dire les choses ainsi, à se contrecarrer :
Capture d’écran 2015-07-27 à 22.55.22
Les deux composantes toroïde et poloïde, en bleu et rouge respectivement, ont été extraites par analyse mathématique des observations de l’observatoire Wilcox et des équations mathématiques plutôt compliquées ont ensuite permis de faire un retour vers le passé et une projection vers le futur, nous allons y revenir. On s’aperçoit qu’à l’évidence un déphasage apparaît dès la fin du cycle solaire 22 et la situation devient de plus en plus décalée. Ce déphasage entrainera une diminution substantielle de l’activité magnétique du Soleil, donc du nombre de taches solaires et par voie de conséquence de l’irradiance qui atteint la Terre avec toutes les conséquences que ce phénomène va entrainer sur le climat, mais nous en reparlerons plus loin.
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Valentina Zharkova, avec qui j’ai conversé par mail, est formelle pour ne pas dire péremptoire : le Soleil s’achemine vers une longue période de « sommeil magnétique » sans pour autant mentionner un instant une quelconque conséquence sur le climat. La conséquence directe sera un affaiblissement de l’irradiance atteignant la Terre, je le répète. Madame Zharkova insiste sur le fait que son traitement mathématique des variations d’intensité du champ magnétique solaire ne peut pas être directement utilisé pour établir une corrélation entre le résultat de ses travaux et les températures moyennes observées sur Terre. Cette analyse mathématique ne constitue donc pas, selon elle, un argument à mettre en avant pour nier la putative existence d’un réchauffement d’origine anthropique. Je ferai part de mes remarques sur ce point en fin de billet.
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Les calculs effectués par Madame Zharkova concordent parfaitement (courbe continue en gris) avec l’évolution à venir des taches solaires :
Capture d’écran 2015-07-27 à 22.22.50
Comme l’indique le graphique ci-dessus qui est une représentation de l’analyse mathématique effectuée, après 2015 ça va vraiment se corser. Si vous n’êtes pas encore convaincu, la courbe en continu représentant l’amplitude des ondes magnétiques solaires est issue du calcul. On distingue en superposition jusqu’en 2011, en pointillés gris-clair et gris-sombre, les observations obtenues à l’observatoire Wilcox et la précision de coïncidence avec le modèle est de plus de 98 %, ce qui valide largement cette analyse mathématique. Les prévisions pour le cycle 24 sont pour l’instant en parfaite concordance avec les observations et la compilation la plus récente faite par le NOAA (voir plus haut) et la superposition de l’analyse mathématique (courbe en noir) avec les données relatives aux cycles 21, 22 et 23 :
Capture d’écran 2015-07-29 à 13.05.21
On pourrait s’arrêter là et dire qu’après tout quand un mathématicien, en l’occurence une mathématicienne, travaillant avec son époux Sergei Zharkov, s’intéresse au Soleil ça peut paraître anecdotique. Pas du tout ! L’analyse mathématique peaufinée par Madame Zharkova s’est révélée valider les variations climatiques sur une période remontant à plus de 1000 ans en arrière y compris le fameux minimum de Maunder qui sévit de 1640 à 1720 et le minimum dit de Dalton qui frigorifia l’Europe pendant 33 ans au début du XIXe siècle sans oublier l’optimum climatique médiéval qui n’avait rien à voir avec le gazcarbonique ! Et voilà les prévisions effectuées et montrées ici jusqu’en 2040 :
Capture d’écran 2015-07-27 à 19.55.46
Le modèle mathématique de Madame Zharkova fait des projections sur les 2000 années à venir et l’avenir proche, disons à court et moyen terme, n’est pas vraiment rassurant. On s’achemine vers une longue accalmie magnétique du Soleil, donc vers de la froidure durable et insupportable jusqu’aux alentours des années 2060, je vais en reparler, mais loin de moi l’idée de faire dire à Madame Zharkova ce qu’elle n’a pas dit dans ses publications scientifiques à propos du climat car ce n’est pas le climat qui est le sujet de ses travaux.
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Les travaux de Lockwood que j’ai mentionné dans un précédent billet (voir le lien) et qui étaient déduits strictement des observations terrestres sont donc pleinement confirmés par ce dépouillement mathématique des observations de l’observatoire Wilcox. Quant aux effets de marée putatifs de Jupiter sur le champ magnétique solaire, Madame Zharkova n’y croit pas car l’amplitude de ces effets qu’on ne peut supputer que par la mécanique céleste, c’est-à-dire le mouvement des planètes, est beaucoup trop faible pour qu’on puisse en attendre une incidence significative sur les mouvements internes de matière solaire et donc sur la « dynamo solaire ».
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Ç’en est donc terminé avec le bluff et l’intoxication de l’IPCC, de Greenpeace et de tous les autres groupuscules écologistes qui versent dans un malthusianisme sordide et qui ont converti des politiciens crédules et stupides à une reconversion énergétique exempte de gazcarbonique extrêmement coûteuse et inefficace car ce gaz n’a rien à voir avec les variations climatiques, seul le Soleil est en cause ! Dans moins de dix ans le COP21 de la fin de l’année sera ridiculisé ainsi que tous les climatologues autoproclamés et aussi tous les écologistes marxisants et nostalgiques d’un passé sans électricité et sans pétrole et encore plus les politiciens dont Mademoiselle Ségolène qui se pavane royalement d’avance en pensant à ce grand raout qui sera le couronnement de sa carrière de politicienne. Toutes ces histoires de gazcarbonique, de méthane, de volcanisme bien venu pour expliquer l’inexplicable, la fonte des banquises, la disparition des ours blancs et des neiges du Kilimanjaro et la submersion des atolls de Polynésie ou de Micronésie, l’acidification des océans et les courbes en crosse de hockey, ce n’est que de l’intoxication idéologique. Il ne suffit que de quelques watts, sur 1360 en moyenne, de diminution de l’irradiance solaire par mètre carré (au niveau des tropiques) pour que le climat change complètement et cette fois ça va être du sérieux.
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En 2025, dans seulement dix ans, il commencera déjà à faire vraiment froid, le climat de Stockholm à Paris, et celui de Paris à Alger ou Naples, difficile à imaginer, et pourtant …
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Il n’y a donc maintenant plus aucun doute, le climat va devenir glacial et il est urgent de se préparer à ce changement climatique à l’évidence duquel il faut se rendre et sans tarder car il y a un réel danger pour l’équilibre géopolitique global. Imaginez une plaine de Beauce où on ne peut plus faire pousser de blé tendre : plus de blé, plus de pain, souvenons-nous de la famine de 1787-1788 qui fut l’un des éléments à l’origine de la révolution française ! Plus de maïs, c’est certain, les champs de maïs seront devenus un vieux souvenir, mais aussi plus de vignes en Champagne ou en Alsace, ni dans le Val de Loire ni en Bourgogne. Je me permets de rappeller ici que durant l’optimum climatique médiéval on cultivait la vigne en Grande-Bretagne presque jusqu’en Ecosse … Pour les fruits et les légumes, autant dire que ce sera la portion congrue car ils coûteront une fortune. Comme en 1956 tous les oliviers du sud de la France auront gelé et disparu, plusieurs hivers rigoureux auront eu raison de ces arbres parfois multicentenaires …
Le refroidissement climatique précisément déductible des travaux de Zharkova ou encore de Lockwood aura donc des conséquences primaires sur l’agriculture et les circuits de production et sur toute l’alimentation disponible non pas seulement en France mais aussi dans toute l’Europe, l’Amérique du Nord, la Chine ou encore le Japon sans oublier l’Argentine, l’Afrique du Sud et la moitié méridionale de l’Australie car toute la planète sera assujettie à ce refroidissement à l’exception des zones intertropicales.
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On peut imaginer sans peine que la quête de nourriture alimentera des conflits armés meurtriers inévitables partout dans le monde non pas motivés pour la domination de ressources minières, diamantifères ou pétrolières mais pour avoir accès à la nourriture. On ne travaillera plus que pour se nourrir tant les aliments de base seront devenus hors de prix. Des centaines de millions de personnes chercheront à se nourrir à n’importe quel prix quitte à verser dans l’anthropophagie : quand on a faim on est prêt à tout, jusqu’à occire le premier quidam venu pour lui ôter le pain de la bouche ou le manger tout cru ! C’est peut-être un peu sombre comme tableau mais ce n’est pas éloigné de la réalité qui va survenir dans dix ans, quinze ans au plus tard, alors que les politiciens, les décideurs, les financiers, sont prisonniers d’une écologie idéologique aberrante et réellement criminelle en regard des conclusions qu’on est en droit de déduire de cet article de Valentina Zharkova même si cette dernière désapprouvera mon interprétation et ma prise de position.
Je suis un blogueur libre et j’exprime mon opinion librement. Je ne suis inféodé à aucun groupe d’intérêt, je n’ai jamais fait appel à mes lecteurs pour un quelconque soutien financier. En conséquence quand je lis un article scientifique de haute tenue je suis également libre de l’analyser mais toujours avec la plus ferme honnêteté, puis de formuler une opinion et d’en faire part à mes lecteurs …
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Je pense à mes enfants qui vont avoir une fin de vie difficile mais je n’ose même pas imaginer comment mes petits-enfants vivront dans 30 ou 40 ans car tout de même on ne pourra pas tous émigrer vers les tropiques ça risquerait de devenir à l’évidence invivable ! Pour conclure je voudrais que mes lecteurs diffusent largement ce billet car il devient urgent de contrecarrer les visées criminelles des écologistes et de l’IPCC.
Pour vous apporter une dernière preuve de la désinformation organisée par les sbires de l’IPCC et des organisations écologistes, le site Wikipedia n’est plus que l’ombre de lui-même quand on tente de se documenter sur le climat. Allez faire une recherche sur le minimum de Maunder et vous serez édifié par le niveau de propagande et de caviardisation orchestrée par ces tenants du réchauffement climatique, c’est édifiant ! On y lit, je cite (à propos du minimum de Maunder) : « aucun mécanisme convaincant n’a été proposé pour l’activité solaire qui puisse expliquer les températures inférieures à la normale » et plus loin : « l’hypothèse couramment admise est que la cause du minimum de Maunder est l’activité volcanique », traduit de l’anglais, et si vous ne me croyez pas allez sur ce lien s’il est toujours valide https://en.wikipedia.org/wiki/Maunder_Minimum , honte à ce site qui a abandonné toute probité scientifique et consent à faire de la propagande « climatique » gratuite pour l’IPCC, Greenpeace et les autres groupuscules écologistes …
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Sources : http://computing.unn.ac.uk/staff/slmv5/kinetics/shepherd_etal_apj14_795_1_46.pdf
http://www.ann-geophys.net/31/2023/2013/angeo-31-2023-2013.html
http://www.swpc.noaa.gov/products/solar-cycle-progression
https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/03/03/warming-or-cooling-that-is-the-question/ http://wso.stanford.edu/daily/mag.latest.ps et communications personnelles de Valentina Zharkova.
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Note 1 : Madame Zharkova travaille au sein de l’Université de Newcastle en tant que mathématicienne. S’intéresser à l’activité solaire n’est pas très bien vu des pourvoyeurs de crédits de recherche surtout quand on peut établir que ces recherches ont un lien direct ou lointain avec l’évolution du climat et qu’elles infirment les conclusions maintenant mondialement admises vers un réchauffement de ce dernier. Par les temps qui courent de nombreux laboratoires de recherche impliqués dans toutes sortes de disciplines se sont retrouvés prisonniers du système de financement qui est abondant à condition qu’on effectue des travaux dans le sens politiquement correct du réchauffement climatique. Si un scientifique ose contredire la doxa climatique actuelle il peut tout simplement dire adieu à sa carrière car il est immédiatement inscrit sur la liste noire des hérétiques. Le réchauffement climatique est devenu le gagne-pain de dizaines de milliers de scientifiques qui par voie de conséquence effectuent des travaux le plus souvent biaisés voire complètement falsifiés du genre : on écrit les conclusions d’un article scientifique avant même d’avoir réalisé la moindre expérimentation, le moindre calcul ou la moindre observation. Et si par hasard on s’est personnellement plié à un semblant d’honnêteté, la qualité pourtant basique d’un scientifique, et que les premiers résultats obtenus ne sont pas conformes à cette doxa climatique imposée par les idéologues, alors on fait du « cherry-picking » (le ramassage des plus belles cerises) quitte à devenir franchement malhonnête. C’est ainsi que fonctionnent des pans entiers de la science d’aujourd’hui ! L’aspect le plus significatif de cette nouvelle évidence d’un refroidissement généralisé et inévitable du climat terrestre que je me suis permis de déduire des travaux de cette mathématicienne et qui va arriver inéluctablement va précipiter des centaines de milliers d’articles scientifiques aux oubliettes, complaisamment acceptés par des comités de lecture sans scrupules pour alimenter tous azimuts la propagande « réchauffiste » et des milliers de ces scientifiques d’opérette et opportunistes – il ne faut pas non plus oublier cet aspect – se retrouveront brusquement au chômage. Quand, dans 10 ou 15 ans la Seine sera chaque hiver prise plusieurs mois par les glaces à Paris devant l’Université de Jussieu et le Muséum d’histoire naturelle est-ce qu’on continuera à clamer que c’est à cause du réchauffement climatique ?
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Note 2 : Les cycles solaires sont par convention numérotés à partir du cycle qui culmina aux alentours de 1760. Le cycle actuel finissant est donc le 24e cycle solaire ( http://www.sidc.be/images/wolfaml.png ).
Source : http://nam2015.org/index.php/press-releases/64-irregular-heartbeat-of-the-sun-driven-by-double-dynamo
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Illustrations : Wilcox Laboratory et U. de Tokyo
Et toujours :
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https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/08/02/rechauffement-climatique-global-episode-2-riz-et-methane/
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https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/07/29/science-et-religion-nont-jamais-fait-bon-menage-retour-sur-la-theorie-de-leffet-de-serre-et-le-rechauffement-climatique-episode-1/
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https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/08/10/climat-episode-3-une-canette-de-biere-un-modele-de-latmosphere-terrestre/
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https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/08/17/perturbation-climatique-globale-episode-4-la-science-revue-et-corrigee-pour-la-bonne-cause/
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https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/08/26/perturbation-climatique-globale-episode-5-lorigine-philosophique-de-la-supercherie-et-ses-retombees-politiques-planetaires/

7 commentaires:

  1. Comme l'avaient prévu les scientifiques depuis longtemps, nous nous acheminons vers un refroidissement global (dont le tournant a commencé en 2005 jusqu'en 3035).
    Mais, même si nous ne sommes plus en 1787/1788 ou plus près en 1956, il en demeure que, du progrès a été fait. Fait en matière de serres (plastique ou verre) qui recouvrent déjà quelques millions d'hectares à travers le monde.
    Et, même s'il serait difficile (mais pas impossible) de semer du blé sous serre, il en demeure qu'une serre permet d'avoir plusieurs récoltes par an ! et, des tomates en décembre/janvier, ce n'est pas commun !

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  2. Statisticien constate preuve que nos élections sont une farce: « Modèles digne de fraude électorale »

    Joshua Krause
    4 septembre 2015
    Le quotidien Sheeple


    Beaucoup d'entre nous ont soupçonnés d'années que les élections américaines sont une imposture. Non seulement semble-t-il comme rien ne change n'importe combien de fois nous votons les clochards dehors, mais parfois les votes eux-mêmes ne semblent pas s'additionner. Surtout maintenant que nous avons des machines de vote électronique, qui ne fournissent pas beaucoup de responsabilité et sont notoirement facile à pirater.

    Heureusement, vous pouvez toujours dire quand les votes ne font sens, même avec des machines de vote électronique. Dans des États comme le Kansas, où dans certains comtés, ils utilisent des machines de vote électronique qui enregistrent aussi les votes sur les bandes de papier, il semble y être quelques incohérences flagrantes avec le vote des résultats lors des dernières élections quelques.

    Beth Clarkson, statisticien en chef de l'Institut National de l'Etat de Wichita pour la recherche de l'Aviation, a déclaré la semaine dernière qu'elle remarqué des résultats pour le dernier que plusieurs élections dans l'État n'a pas pu s'additionnent. "Que si nous ne sommes pas étant comptés avec précision, nous perdons notre droit de vote sans même être au courant", a-t-elle dit lors d'une manifestation commémorant le 95e anniversaire de la 19ème amendement, qui a accordé des femmes le droit de vote.

    Clarkson a poursuivi l'état du Kansas pour le pouvoir d'examiner les bandes de l'électeur, qui enregistrent chaque coup qu'un électeur jette sur les machines. Dans le comté de Sedgwick, par exemple, qui s'élève à 385 pieds de ruban adhésif placés dans des boîtes de 42. Clarkson est désireux d'examiner les dossiers, affirmant qu'elle a remarqué des anomalies dans les nombres.

    «je ne comprends pas pourquoi ces modèles sont là, les patrons sont tout à fait réels. Mais nous ne savons pas ce qui leur cause ou pourquoi ils sont là. Ils ne correspondent pas à ce qu'on s'attendrait si fraude électorale se produit, et qui est très inquiétant. »

    "Ce n'est pas juste une anomalie qui s'est produite au même endroit," Clarkson a déclaré en avril. «C'est un modèle qui s'est produite à plusieurs reprises lors des élections à travers les États-Unis. » Elle dit que le modèle favorise systématiquement les républicains traditionnels — même sur les candidats du Tea Party...

    Eh bien c'est pas une grande surprise ? Ce qui n'est pas aussi surprenant, c'est comment les autorités du Kansas réagissent à ses prétentions. Après que Clarkson a poursuivi l'état du Kansas pour afficher les enregistrements, état Secrétaire Kris Kobach a demandé au juge de bloquer son cas. Je suppose qu'il n'y a rien à voir ici les gens.

    (suite en dessous:)

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  3. Nope. Il n'y a rien de suspect sur un républicain officiel essayant d'empêcher un statisticien d'enquête sur une affaire de fraude électorale que si elle est vraie, peut avoir été commis par les républicains. Il n'est également pas une action hypocrite pour quelqu'un qui a été élu sur une plateforme axée sur la prévention des fraudes électorales, et qui introduit une législation qui pourrait empêcher les étrangers en situation irrégulière de voter. Je suppose que si fraude électorale peut aider les démocrates, vous devez modifier les règles, mais si cela peut aider les républicains vous pouvez juste le pinceau sous le tapis.

    La seule question qui demeure est, les démocrates font la même chose dans les États où ils dominent les élections ? Il ne me surprendrait pas du tout si ils êtes piratage les machines pour supprimer non-conventionnelle des candidats de leur propre parti. Quoi qu'il en soit, nous avons au moins une autre élection bidon d'attendre avec impatience l'année prochaine. Une fois que les résultats viennent dans le 8 novembre, on saura exactement qui sont les politiciens les plus corrompus.

    http://www.shtfplan.com/conspiracy-fact-and-theory/statistician-finds-proof-that-our-elections-are-a-sham-patterns-fit-election-fraud_09042015

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  4. La guerre au cash est déclarée

    Françoise Garteiser
    La chronique agora
    dim., 06 sept. 2015 04:57 UTC

    La guerre est donc déclarée. Depuis le 1er septembre, les paiements en cash supérieurs à 1 000 euros sont officiellement interdits en France.

    En Espagne, les grandes banques taxent désormais les retraits aux distributeurs, relevait Simone Wapler récemment. Le Financial Times publiait il y a quelques jours un article invitant à supprimer cette "autre relique barbare" qu'est le cash. Sur le site internet France 2022, lancé à l'initiative de Jacques Attali, on trouve une page "Supprimer la monnaie fiduciaire" listant tous les avantages qu'il y a à se passer du cash.

    L'un de ces avantages — et non des moindres — est la "fin de la transmission de microbes via la monnaie". Mais oui ! A bas les billets pouacres et les pièces poisseuses ! Et ne nous arrêtons pas en si bon chemin : supprimons aussi les barres d'appui dans les transports publics — ces surfaces répugnantes grouillant de virus et de bactéries qui nuisent à la santé générale ! Comment, que dites-vous ? "Ce serait absurde, tout le monde tomberait" ? Mais mon bon monsieur, puisqu'on vous dit que c'est pour votre sécurité !

    Bref, la guerre que mènent les autorités contre le cash est en train de prendre une tournure de plus en plus musclée. Et pour cause, comme l'expliquait Bill Bonner jeudi :

    "Si les autorités peuvent bannir le cash, elles vous auront entièrement en votre pouvoir. Vous investirez quand elles voudront que vous investissiez. Vous achèterez quand elles veulent que vous achetiez, ce qu'elles veulent que vous achetiez".

    "Vous serez contraint de conserver votre argent dans une banque — une banque contrôlée, bien entendu, par les autorités. Vous direz que vous aurez 'de l'argent à la banque', mais ce ne sera pas vrai. Tout ce que vous aurez, c'est un crédit auprès de la banque".

    "En l'état actuel des choses, la banque aura du cash réel — mais de loin pas assez pour satisfaire ses engagements. Si cette nouvelle attaque réussit, de par la loi, vous n'aurez plus de cash du tout. Vous serez cerné. Si les autorités veulent vous forcer à dépenser... ou investir... votre argent, elles imposeront simplement un 'taux d'intérêt négatif', qui n'est rien de plus qu'une taxe. A Chypre, ils ont ponctionné les plus gros comptes d'une taxe de 50% simplement parce que les banques n'avaient pas assez d'argent. En Argentine, elles ont carrément été fermées. Lorsqu'elles ont rouvert, les dépôts en dollars avaient été convertis en pesos, avec une perte de 66% !"

    "[...] En 2008-2009, quasiment toutes les grandes banques étaient au bord de la faillite. Mais s'ils réussissent à nous isoler du cash, ça n'arrivera plus jamais. Parce que les banques n'auront qu'à se servir chez nous — avec l'approbation pleine et entière des banques centrales, des gouvernements et des zombies un peu partout".

    Ca suffit, tout ça, non ? Il est temps de récupérer un peu de terrain perdu en matière d'indépendance et du droit à disposer de votre propre argent. Nous sommes en train d'agir, aux Publications Agora : joignez-vous à nous en signant notre pétition. Plus nous aurons de signataires... mieux notre appel sera entendu.

    http://fr.sott.net/article/26343-La-guerre-au-cash-est-declaree

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  5. Du panopticon

    Baptiste Créteur
    Contrepoints
    sam., 05 sept. 2015 04:04 UTC

    Le ministère de l'Intérieur souhaite disposer des bases de données des assureurs pour lutter contre certaines infractions. Un pas de plus dans la mauvaise direction, celle du Panopticon.

    À la fin du 18ème siècle, Jeremy et Samuel Bentham concevaient le Panopticon, une architecture destinée à permettre à une seule personne d'en surveiller des centaines d'autres. Envisagé entre autres pour les hôpitaux, écoles (sic) et asiles, c'est pour concevoir des prisons plus efficaces que le Panopticon a été conçu. Le principe est relativement simple : la position centrale du surveillant lui permet de voir n'importe quel détenu à tout instant, et les détenus ne peuvent savoir s'ils sont effectivement observés ou non. Cette possibilité d'être observé sans pouvoir le vérifier devait favoriser l'exemplarité : si on peut être vu, on peut être pris. Une idée simple pour laquelle ses inventeurs avaient de grandes ambitions :

    « La morale réformée, la santé préservée, l'industrie revigorée, l'instruction diffusée, les fardeaux de la société allégés, l'économie reposant pour ainsi dire sur un roc, le nœud gordien de la loi sur les pauvres non pas tranchée mais déliée ; le tout par une simple idée d'architecture ! » - Bentham

    Le Panopticon moderne n'est pas un concept architectural. Dès 2003, Jerome Dobson et Peter Fischer prédisaient un « géoesclavage », défini comme « la pratique par laquelle une entité, le maître, surveille et exerce un contrôle coercitif ou subreptice sur une autre personne, l'esclave ». Ce qui aurait pu n'être que le délire paranoïaque de deux chercheurs est devenu une réalité : la surveillance de masse s'est généralisée, dans le cadre de la guerre contre la drogue puis contre le terrorisme.

    La quantité de données relatives à un individu (par exemple, vous) - communications, géolocalisation ou triangulation du signal, achats effectués par carte bancaire, billets nominatifs, inscriptions et activité sur Internet... - donne une idée de l'ampleur potentielle de la surveillance. Et cet ampleur n'est pas que potentielle : en France, l'ensemble des communications de chaque citoyen est analysé.

    L'entité « maître », l'État, n'a même plus besoin de collecter ces données elle-même ; elle peut se contenter de collecter les données de tierces parties. Et c'est exactement ce qu'elle fait. Auprès des opérateurs de télécommunications, des services de messagerie, et désormais des assurances : le ministère de l'Intérieur planche sur un projet de croisement des bases de données des assurances avec le registre des immatriculations pour faciliter la détection des défauts d'assurance en cas d'infraction sans interpellation directe. Quand un radar automatique constate une infraction, l'immatriculation du véhicule sera utilisée pour déterminer s'il est assuré ou non. Les modalités pratiques sont encore à déterminer : croisement des bases de données ou requêtes individuelles auprès des assureurs.

    (suite en dessous:)

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  6. Un tel système facilite évidemment le travail de la puissance publique et inciterait les propriétaires récalcitrants à assurer leur véhicule. Tout comme croiser les données bancaires avec les informations transmises aux organismes sociaux permettrait de limiter la fraude, et comme analyser l'ensemble des télécommunications pourrait permettre de mieux détecter les comportements suspects, en particulier les potentiels terroristes. Mais les avantages du Panopticon, déjà mis en avant par Bentham, ne doivent pas faire oublier ses inconvénients : la vie privée disparaît, et nous sommes tous de facto ciblés par une surveillance avant tout conçue pour des prisonniers. Il est impossible de savoir si on est effectivement surveillé, mais il est certain qu'on peut l'être.
    Le Panopticon n'est plus un concept architectural, qu'il n'a en réalité jamais été, mais un concept social, qui avance derrière un discours en trois phrases :
    - C'est pour votre bien. La surveillance n'est qu'un moyen, au service d'une juste et bonne fin.
    - La fin justifie les moyens. Lutter contre la fraude, contre le coût économique du défaut d'assurance ou contre le terrorisme justifierait que l'État puisse tout savoir de chaque citoyen.
    - Si on n'a rien à cacher, on n'a rien à craindre. Après tout, quel problème un citoyen modèle devrait-il trouver à ce que l'État bienveillant sache tout de son exemplarité ?
    Malheureusement, ce discours séduit : comme l'anticipaient Dobson et Fischer : « Les inconvénients n'apparaîtront qu'après que nous ayons été séduits par les avantages. » Si cela permet de mettre les coupables en prison, beaucoup semblent prêts à accepter qu'on place les innocents en liberté surveillée.

    Une telle liberté surveillée comporte cependant de nombreux risques. Elle n'a pas de réelles limites. On voit bien comment les outils de lutte contre la drogue ont été étendus à la guerre contre le terrorisme, puis contre la fraude et les infractions. Agissant pour le compte de l'État, et donc en théorie au service des citoyens, les surveillants ne font donc que s'attribuer des outils supplémentaires pour mieux faire leur travail, c'est-à-dire mieux servir les citoyens. Mais partout où elle a été déployée, la surveillance a prouvé qu'elle n'était respectueuse ni des principes censés fonder la légitimité de l'État, ni du cadre juridique qui lui est donné.

    Les surveillants ont à maintes reprises étendu leurs prérogatives de leur propre initiative ou de celle de leurs dirigeants, et en tout cas sans aucun contrôle démocratique. Les justifications à la surveillance sont parfois trouvées hors de leur cadre théorique, et elle s'exerce régulièrement sans aucun mandat. La liberté est surveillée, mais les surveillants ne le sont pas, n'ayant aucun compte à rendre de leurs activités et faisant face à des sanctions mal définies.

    L'extension permanente des motifs de surveillance et leur définition vague font également planer le risque d'une surveillance irréversible. Si la surveillance est un enjeu de sûreté nationale ou d'intérêt général, s'y opposer ou chercher à s'en préserver ne devraient-ils pas être punis ? Ceux qui ont jusqu'à présent dénoncé la surveillance (e.g. Edward Snowden) font déjà l'objet de poursuites dans leur pays d'origine, alors même que les activités qu'ils dénonçaient étaient illégales.

    (suite en dessous:)

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  7. Être surveillé peut aussi inciter les citoyens à changer leur comportement, illégal ou non ; avec d'autant plus d'impact que les limites de la surveillance sont mal définies et que le réel usage des données collectées est impossible à connaître. Un gouvernement pourrait-il faire chanter un candidat, un chef d'entreprise ou un leader d'opinion ? Transmettre des informations sensibles à la presse sous le couvert de l'anonymat ? Pourraient-ils agir différemment par simple peur d'être sous surveillance ?

    Pour ne pas tomber dans le piège du Panopticon, il faut veiller au respect de la vie privée - qui, quoi qu'en pense le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, est bien sinon une liberté, une condition de la liberté.
    « Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. » - Thomas Jefferson

    http://fr.sott.net/article/26341-Du-panopticon

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